21 août 2007 - Le Publisac, vous connaissez sans doute. Oui, c’est ce petit sac rempli de circulaires commerciales qui vous arrive sur votre balcon sans le demander. Que vous le vouliez ou non, il vous arrive toutes les semaines avec une fidélité exemplaire. Il contient toujours, aux dires de ceux qui le consultent, une foule de petits rabais. Toutefois, il n’est pas désiré par tout le monde et il est impossible, même si vous aviez un autocollant sur votre porte, de vous en débarrasser. Non, décidément, il est vraiment très coriace ce petit Publisac.
Selon Pascal Grenier, responsable du Groupe de simplicité volontaire de Québec, une enquête révèle qu’environ 30 à 50% des gens de la région de Québec ne désirent pas recevoir le Publisac aux portes des maisons. Ce sont 1600 foyers de la région de Québec qui reçoivent inutilement le fameux Publisac. Imaginez ce que cela signifie à la grandeur de la province. Chaque Publisac contient une valeur entre 5$ et 7$ de matériel imprimé. Un simple calcul, effectué par l’étude du Groupe de simplicité volontaire, permet de déterminer qu’il se gaspille environ 50 millions en sacs de publicité. Imaginez le chiffre à la grandeur du Québec!
Le Québec a-t-il les moyens de semer à tout vent son papier et ses richesses? Mais il y a une question encore plus fondamentale à laquelle il faudrait réfléchir. Publisac a-t-il le droit, sans l’accord des citoyens, d’inonder leurs résidences personnelles de publicités commerciales?
À VOUS LA PAROLE !
Selon Pascal Grenier, responsable du Groupe de simplicité volontaire de Québec, une enquête révèle qu’environ 30 à 50% des gens de la région de Québec ne désirent pas recevoir le Publisac aux portes des maisons. Ce sont 1600 foyers de la région de Québec qui reçoivent inutilement le fameux Publisac. Imaginez ce que cela signifie à la grandeur de la province. Chaque Publisac contient une valeur entre 5$ et 7$ de matériel imprimé. Un simple calcul, effectué par l’étude du Groupe de simplicité volontaire, permet de déterminer qu’il se gaspille environ 50 millions en sacs de publicité. Imaginez le chiffre à la grandeur du Québec!
Le Québec a-t-il les moyens de semer à tout vent son papier et ses richesses? Mais il y a une question encore plus fondamentale à laquelle il faudrait réfléchir. Publisac a-t-il le droit, sans l’accord des citoyens, d’inonder leurs résidences personnelles de publicités commerciales?
À VOUS LA PAROLE !
2 commentaires:
Non, je n'aime pas le Publisac. Il faut légiférer. Je ne trouve pas correct qu'on jette sur ma galerie un tas de réclames. Je n'ai rien demandé de cette foutue pub. Qu'on me laisse la paix avec tout cela. Nous sommes envahis de partout! Seigneur, du Publisac, delivre-nous!
En réponse à votre question du 21 août, contrairement à Conscience, j'ai besoin moi, de mon Publi Sac hebdomadaire, étant pauvre. Ainsi, grâce à lui, je n'hésite pas à marcher 6 rues de chez moi pour bénéficier des spéciaux que nous accordent les marchands d'une semaine à l'autre.
C'est avec le Publi Sac que j'arrive à me faire un budget équilibré, ce que je ne pourrais faire sans, pour le moment, appréciant les circulaires, tout en sachant que les annonces sont inclues à notre insu dans le prix des aliments que nous achetons. Mais je ne vais pas m'arrêter de manger pour préserver l'environnement. Aussi, je n'encouragerai jamais l'écolo fascisme.
Je ne partage donc pas votre opinion là-dessus, ne vous en déplaise. Je suis en train par la même occasion de vérifier si Radio Ville Marie pratique la censure de qui ne pense pas comme son directeur général. Ceci dit sans vouloir vous offenser.
Je ne suis pas un partisan de la pensée unique, mais plutôt pour les nuances en tout.
Et j'appelle le groupe Transcontinental qui achemine chaque semaine à ma porte le Publi-sac si leurs messagers sautent une semaine.
Tout n'est pas mauvais au Québec, et le Publi Sac fait partie à mon avis des bonnes choses que nous fournit notre société actuelle. Je serais déçu si le législateur mettait une fois de plus son nez dans notre vie privée par son interventionnisme éhonté dans notre quotidien depuis quelques années.
2 Corinthiens 3:17 ... le Seigneur, c’est l’Esprit ; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté.
Ma foi passe avant les considérations païennes du Groupe de simplicité volontaire du Québec.
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